Aaron Mickelson, un étudiant de l’Institut Pratt, pourrait le changer le monde de l’emballage en inventant un packaging presque sans matière avec The Disppearing Package.
Côté emballage, c’est la surenchère. Désormais on achète une boite, qui contient des sachets, qui abritent d’autres sachets… Et les poubelles enflent de tout ce plastique. Tout juste diplômé de l’Institut Pratt, Aaron Mickelson a consacré sa thèse à la conception de prototypes de produits presque sans emballage mais tout aussi glamour. Une invention qui pourrait avoir des répercussions écologiques heureuses à l’heure où les déchets, si nombreux, ont formé une masse dont la superficie serait équivalente à six fois la France, comme un septième continent qui flotterait dans nos océans.
C’est un pack d’idées aussi brillantes les unes que les autres, nommé The Disppearing Package (l’emballage qui disparaît, ndlr) qu’Aaron a mis en place. À partir de cinq produits de tous les jours, il a repensé la fonctionnalité de l’emballage et son potentiel séduction.
Cette idée rappelle l’emballage soluble de Simon Laliberté présenté sur Packaging UQAM. À ce rythme, un jour, il n’y aura plus de suremballage!
via Pierre Allard
Si vous aimez ce billet, vous aimerez aussi: