Survivre en temps de pandémie grâce aux masques

Qui aurait pu croire il y a quelques mois à peine qu’il y aurait une telle demande pour des masques pour se couvrir le visage? C’est qu’en contexte de Covid-19, la survie d’une partie de la population dépend de la popularité de cet objet de protection.

On le sait, ce sont les microgouttelettes qu’on propage dans l’air en respirant ou en parlant qui sont problématiques. Ce sont ces microgouttelettes qui transmettent le virus dans l’air et que des individus peuvent inspirer.

Quelques designers de mode ont eu l’idée de personnaliser les masques pour en faire des accessoires de mode. Des marques ont aussi commencé à produire des masques couverts de logos personnalisables. On a aussi vu une panoplie de designs colorés, sobres ou éclectiques réalisés par des artisans à la maison.

Le masque est devenu peu à peu symbole de l’obéissance aux règles sanitaires. Il a été défendu et repoussé. Il a été décrié et salué.

Ce bout de tissu qu’on traîne désormais avec soi en tout temps et qu’on exige à l’entrée de nombreux commerces fait parti du kit de base de l’être humain contemporain avec le portefeuille, le téléphone portable, le blue jeans, le T-shirt et les sneakers.

Il est intéressant de noter qu’on a fini par s’habituer à cet objet qui limite la communication interpersonnelle, l’alimentation et le naturel de la respiration normale. L’objet nous fait embuer nos lunettes, il empêche aux personnes sourdes de lire sur les lèvres et il se salit comme toute chose.

L’adoption du masque dans les transports en commun et les lieux publics comme l’épicerie s’est faîte rapidement et non sans heurt. On a vu des manifestations anti-masque et des policiers obligés de sortir des individus non masqués de restaurants.

Le masque va-t-il devenir un indispensable? L’Histoire nous le dira…