C’est le fabuleux artiste du photoshop Charlie Shulz qui m’a appris ces deux mots:
Selon Wikipédia:
Vaporwave is a musical genre that emerged in the early 2010s from indie dance genres such as seapunk, bounce house, or chillwave, and, more broadly, electronic dance music. Although there is much diversity and ambiguity in its attitude and message, vaporwave sometimes serves as both a critique and parody of consumerist society, ’80s yuppie culture,[3] and New Age music, while sonically and aesthetically showcasing a curious fascination with their nostalgic artifacts.
Selon Wikipédia:
Seapunk is a microculture and/or subculture with an identifiable style of music, design, and fashion. It developed online in 2011 via a small group of social media enthusiasts who shared a nostalgia for 1990s internet culture. The New York Times described Seapunk as a « web-joke with music. »[1] It gained limited popularity as it was shared, forwarded, and linked across the internet.[2]
Ces deux mots réfèrent à des styles très cohérents avec ce que je nomme l’esthétique Web. Qu’est-ce que l’esthétique Web? Comme je le disais dans « L’esthétique Web est en train de révolutionner le marketing de masse et le design »:
Qu’est-ce que l’esthétique Web? C’est ce qui passe bien sur Internet. L’esthétique Web, c’est cet intérêt marqué, depuis quelques années, pour:
la pixélisation les couleurs fluos la lumière stroboscopique l’animisme (objet qui a une âme ou une forme animale) le look tribal (tatouage et symbolisme) le graphisme disproportionné les coins ronds le bubleism (blobject) le retour à la nature la recherche d’inspiration la caricature le look « fait à la main » le cyberpunk.