Récemment, deux inventeurs m’ont contacté pour savoir si je voulais développer gratuitement pour eux un prototype d’un objet électronique. Depuis, ils ne m’ont toujours pas donné de nouvelles. Je leur ai demandé de me présenter leurs recherches de la concurrence avant de me lancer dans l’aventure…
Si vous êtes un inventeur, de grâce, sachez que votre idée ne sera jamais mise en marché si vous ne mette pas les efforts pour commercialiser votre idée. Une idée sur papier cachée dans le fond d’un tiroir sale que personne n’a jamais regardé, ça vaut environ 3000$-5000$, c’est-à-dire que ça vaut le prix que vous avez payé pour son brevet!
Sachez tout de même que quand j’ai du temps libre, j’aime travailler sur des projets farfelues, irréalistes et imparfaits. Soumettez-moi vos idées et je ferai une critique constructive. Si vous en doutez, consultez les nombreux billets de ce blogue intitulés : « La business absurde de… », voici quelques exemples:
- La business absurde de vendre des bonbons lollipops par Lollyphile
- Mertailor LCC par Eric Ducharme: la business absurde d’une queue de sirène
- Caine’s Arcade: la business absurde d’une arcade en carton
- David Rees: la business absurde de vendre l’aiguisage des crayons
- Un autre jouet absurde… n’importe quoi
En attendant de perfectionner votre idée, lisez:
Pourquoi suis-je intéressé par l’absurde? Pour reprendre les propos de Didier Lucien à Les Enfants de la Télé de Radio-Canada (Émission 25, du19 Mars 2014), il est bon en création de choisir l’idée la plus « poche » ou la « meilleure idée » et de partir de cela dans un brainstorm pour arriver à une véritable oeuvre.