C’est confirmé, je ferai un stage d’une cinquantaine de jours chez Axel Communication, dans la ville de Toulouse, en France. Je souhaite remercier tous les gens qui m’ont encouragé et aidé par leurs dons ce dernier mois durant ma campagne de financement.
L’objectif de mon stage sera de concevoir l’aménagement intérieur et le design d’interface d’un projet pour la Cité de l’espace. Je serai supervisé par une équipe d’experts en communication. J’ai bien hâte de voir ça! Je vous donnerai les détails plus tard cet été.
Cela m’amène à vous parler des difficultés que j’ai rencontrées durant ce mois de dur labeur et des solutions que j’ai trouvé tout au long de cette campagne de financement. Voir :
Amasser des fonds rapidement
Je dois dire que le plus difficile n’a pas été de travailler, vendre et passer beaucoup de temps à chercher des commanditaires. Non. Ce qui a été difficile, et ce l’est dans n’importe quelle organisation, a été de planifier stratégiquement le travail.
Pour ce faire, en équipe de cinq, moi et mes collègues d’Option-Travail avons pensé à plusieurs idées. Voici ces idées et les profits qu’on en a tirés:
- Vente de hot-dog = 120$ pour quatre personnes, soit environ 4$/h/personne
- Vente dans un marché aux puces = 140$, soit environ 20$/h/personne
- Exposition et vente d’artisanat = 140$, soit environ 6$/h/personne
- Party de financement avec concours = 190$, soit environ 12$/h/personne
- Recherche de commanditaire = 20$
En conclusion, nous aurions dû, dès le départ, nous séparer les tâches et se donner chacun un rôle. Il manquait d’un leader. À ce sujet, lire :
Vendre quelque chose…
Je mentionne cette pratique sur mon blogue, dans le billet intitulé Comment vendre un frigo à un eskimo? Il est possible de vendre à peu près tout ce qui nous représente bien. Le défi que nous avons rencontré était de fabriquer un maximum de produits en un minimum de temps. Nos techniques de créativité nous ont beaucoup aidées. Nous avons fait du brainstorming :
Faire de la publicité à moindre coûts
Une chance que deux des participants étaient des graphistes sinon nous aurions trouvé la tâche de créer une publicité accrocheuse assez difficile. Nous n’avions aucun budget au départ! Pour maximiser notre impact, nous avons ciblé les gens du quartier en brandissant des pancartes, en donnant des dépliants d’information et en demandant aux gens influents de faire passer le mot. Et le bouche-à-oreille, ça fonctionne. Voir :
- Comment créer de l’engouement dans un salon d’exposition?
- À Québec, c’est le party
- C’est quoi du bon service à la clientèle?
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Saviez-vous que j’offre des services en design de produits et marketing promotionnel?